Image Caption 17 Image Caption 18 Image Caption 11 Image Caption 12 Image Caption 17 Image Caption 18


I    Introduction

II   La théorie musicale

III  Evolution des instruments

V   Histoire du jazz


Compositeurs et mouvements musicaux

L'Allemagne, L'Italie, La Suisse

 

 

 

La musique en Allemagne au 20e siècle

 

Sommaire de ce chapitre

 

Introduction

Paul Hindemith

Kurt Weill

Carl Orff

Autres compositeurs allemands et autrichiens

 

 

 

Introduction

 

En Allemagne et en Autriche, le 20e siècle est principalement marqué par l’Ecole de Vienne, avec Schönberg, Berg et Webern, que nous avons traitée dans le chapitre consacré au dodécaphonisme, ainsi que par Stockhausen (1928-2007), compositeur dodécaphoniste et de musique électronique, traité lui aussi dans le chapitre consacré au dodécaphonisme.

Nous avons également évoqué Hans Werner Henze (1926-2012) dans ce même chapitre.

 

D’autres compositeurs allemands du 20e siècle ne se sont pas ralliés au dodécaphonisme de l’Ecole de Vienne. C’est le cas de Paul Hindemith, Kurt Weill et Karl Orff.

 

Paul Hindemith (1895-1963)

 

Paul Hindemith est né à Hanau le 16 novembre 1895.

Il étudie le violon dès l’âge de 9 ans. Il devient violon solo de l’Orchestre de l’Opéra de Francfort de 1915 à 1923, puis altiste du quatuor à cordes de son professeur Rebner.

En 1927, il est nommé professeur de composition au conservatoire de Berlin.

Dans les années 1920, Paul Hindemith cultive la « Gebrauchsmusik » (musique utilitaire, fonctionnelle) : il s’agit d’une musique destinée à être utilisée en dehors des salles de concerts, par exemple pour la pédagogie, pour des cérémonies, des films etc., visant également la pratique amateur en réaction à la complexité des musiques savantes contemporaines.

A l'avènement du nazisme, sa musique ayant été qualifiée de « dégénérée », il émigre en Suisse, où a lieu la première de son opéra « Mathis der Maler », puis aux Etats-Unis en 1940, où il obtient la nationalité américaine en 1946.

Il est professeur à l’université de Yale de 1940 à 1953.

A partir de 1947, il effectue de nombreuses tournées de concert en Europe et partage son temps entre les Etats-Unis et la Suisse, où il s’établit définitivement en 1953.

Au cours d’un voyage en Allemagne, Paul Hindemith meurt à Francfort-sur-le-Main le 28 décembre 1963.

 

Les principales œuvres d’Hindemith

 

« Kammermusik » (« Musique de chambre », 1921-1927) est une série de sept partitions écrites pendant sa période « Gebrauchsmusik » pour différents ensembles à effectif réduit.

La symphonie « Mathis der Maler » (Mathis le peintre, 1935) est l’œuvre la plus connue de Paul Hindemith. Elle sera utilisée pour la composition en 1938 de son opéra du même nom basé sur la vie du peintre allemand Matthias Grünewald (1475-1528), auteur du retable d’Issenheim.

Les « Symphonic Metamorphosis » (Métamorphoses symphoniques, 1943) sont écrites sur des thèmes de Carl Maria von Weber. C’est la première œuvre composée par Hindemith aux Etats-Unis.

« Sonate pour saxophone et piano » (1943).

L’œuvre orchestrale en 5 CD


Sur Amazon

Kammermusik
en 2 CD


Sur Amazon

« Ludus Tonalis » (jeu de sons, 1943) est un recueil de vingt-cinq morceaux pour piano, constitué de douze fugues séparées par onze interludes composés dans l’esprit du « Clavier bien tempéré » de Jean-Sébastien Bach.

La symphonie, « Die Harmonie der Welt » (l’harmonie du monde) composée en 1951, a été portée en 1957 aux dimensions d’un opéra en 5 actes du même nom, basé sur la vie du savant Johannes Kepler.

La « Messe pour chœur mixte a cappella » (1963) est la dernière œuvre d’Hindemith.

 

On trouvera une biographie plus complète dans http://www.ars-classical.com/hindemith-biographie.html, et la liste de ses œuvres sur Wikipedia.

 

 

 

Kurt Weill (1900-1950)


Kurt Weill et Lotte Lenya en 1942

Kurt Weill est né dans une famille juive de Dessau le 2 mars 1900.

En 1918, il étudie la musique à la Hochschule de Berlin.

En 1924, il collabore avec la soprano Lotte Lenya qui devient son interprète privilégiée et qu’il épouse en 1926.  Ils divorceront, puis se remarieront en 1937.

En 1925, Kurt Weill est nommé « espoir » de la musique allemande.

En 1927, il collabore pour la première fois avec Bertolt Brecht pour la réalisation de ce qui sera son œuvre la plus connue, « L’Opéra de quat’sous » (Die Dreigroschenoper).

En 1930 est créé son opéra « Grandeur et décadence de la ville de Mahagony » (Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny), sur un texte de Brecht.

En 1933, il est considéré comme un « musicien dégénéré » par les nazis qui détruisent intégralement son œuvre. Il est contraint de quitter l’Allemagne et s’installe à Paris où il compose le ballet chanté « Les Sept Péchés capitaux » (1933), toujours sur un texte de Brecht.

Se sentant rejeté par la France, il part pour les Etats-Unis en 1935 où il obtient la nationalité américaine en 1943. Là, il se spécialise dans la composition de musiques de films, de chansons et de comédies musicales telles que « Lady in the Dark » (1941) et « One touch of Venus » (1943), qui donneront lieu à des versions cinématographiques.

Kurt Weill meurt d’un infarctus le 03 avril 1950, à New York.

 

Les principales œuvres de Kurt Weill

 

Ses 3 œuvres les plus connues ont été écrites sur des textes de Bertolt Brecht. Ce sont :

-        L'Opéra de quat'sous (Die Dreigroschenoper, 1928) qui a été représenté à Broadway plus de 2600 fois de 1945 à 1956. On y trouve la célèbre (Mack the knife) qui devient un standard du jazz, après les interprétations de Louis Armstrong ou Ella Fitzgerald.

 

-        Grandeur et décadence de la ville de Mahagony (Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny, 1930), opéra en 3 actes composé à partir des « Mahagonny Songspiel » de 1927 dans lesquels on trouve la chanson « Alabama Song ».

 

-        Les Sept Péchés capitaux (1933), ballet chanté.

 

L’essentiel en 10 CD


Sur Amazon

Sa dernière œuvre la plus remarquable est « Street Scene » (1946) qui est une synthèse entre l'opéra européen et la comédie musicale américaine.

 

Notons également sa Symphonie n°1 en un mouvement (1921) et sa Symphonie n°2 en trois mouvements (1934).

 

On trouvera une biographie détaillée ainsi que la liste des œuvres de Kurt Weill sur musicologie.org.

 

 

 

Carl Orff (1895-1982)

 

Carl Orff est né le 10 juillet 1895 à Munich.

Il entre en 1912 à l'Académie de musique de Munich.

Mobilisé puis démobilisé pour cause de blessure en 1917, il est nommé directeur musical et chef d'orchestre des opéras de Mannheim et Darmstadt, mais abandonne son poste à Darmstadt peu de temps après pour se consacrer à ses cours de composition.

Etudiant les œuvres de Claudio Monteverdi, il se passionne pour la renaissance italienne.

En 1924, avec la danseuse Dorothée Günther, il fonde l’école de gymnastique, de musique et de danse de Munich : la Güntherschule.

En 1930, il participe à la création du « Schulwerk » (Méthode Orff), méthode pédagogique de la musique, entièrement nouvelle, qui fera le tour du monde.

L’essentiel en 5 CD dont Carmina Burana


Sur Amazon

C’est en 1937 qu’il crée son œuvre la plus célèbre « Carmina Burana », inspirée d’un recueil de poèmes médiévaux provenant d’un manuscrit de 1280 conservé au monastère de Beuron, dont il reprendra 24 chants.

« Carmina Burana » est une cantate profane pour voix et chœurs comprenant des textes en latin, en moyen haut allemand et en vieux français, traitant de sujets à caractère universel tels que l’amour, le vin, le jeu, les infortunes de la vie... Le chœur initial «  a été utilisé dans de nombreux films.

En 1939 il écrit « Der Mond » (La lune) et en 1943 « Die Kluge » (La finaude), deux spectacles musicaux d’après des contes de Grimm.

Les « Catulli Carmina » composées en 1943 et « Le Triomphe d'Aphrodite » composé en 1953 viendront rejoindre les « Carmina Burana » dans le triptyque « Trionfi » (les triomphes).

« Antigone » (1948), « Œdipe le tyran » (1959) et « Prométhée » (1967) constituent sa trilogie grecque antique.

Carl Orff meurt le 29 mars 1982 à Munich.

 

On trouvera une biographie plus détaillée ainsi qu’une liste des œuvres de Carl Orff sur Wikipedia.

 

 

 

Autres compositeurs allemands et autrichiens du 20e siècle.

 

Fritz Kreisler (1875-1962)

Fritz Kreisler est né à Vienne le 2 février 1875 et mort à New York le 29 janvier 1962.

 D’origine autrichienne, Fritz Kreisler prend la nationalité française en 1938 puis américaine en 1943. Il a été l'un des plus grands violonistes du 20e siècle.

Il a composé un grand nombre de pièces de virtuosité assez courtes pour le violon dont les plus connues sont « Liebesfreud » (Plaisir d'amour), « Liebesleid » (Chagrin d'amour), « Schön Rosmarin » (Joli romarin).

Il a aussi écrit des cadences pour le (cadence la plus souvent jouée) et celui de Brahms.

 

 

 

Karl Amadeus Hartmann (1905-1963)

Karl Amadeus Hartmann est un compositeur allemand né le 2 août 1905 à Munich, mort le 5 décembre 1963 à Munich.

Ses principales œuvres sont ses huit symphonies, son « Concerto funèbre » pour violon et orchestre à cordes, l’opéra « Des Simplicius Simplicissimus Jugend ».

 

 

 

Hanns Eisler (1898-1962)

Hanns Eisler est né le 6 juillet 1898 à Leipzig et mort le 6 septembre 1962 à Berlin.

Elève d’Arnold Schoenberg et collaborateur de prédilection de Brecht, son œuvre comprend de nombreux lieder et des chansons sur des textes de Brecht, de la musique de chambre, de scène et de cinéma, dont la musique du film d’Alain Resnais, « Nuit et brouillard ».

 

 

 

Ernst Krenek (1900-1991)

Ernst Krenek est un compositeur autrichien né le 23 août 1900 à Vienne, mort le 22 décembre 1991 à Palm Springs, Californie.

Son œuvre inclut presque tous les styles du 20e siècle. Après une période néoromantique commencée en 1928, il travaille à partir des années 1940 sur la musique sérielle puis aborde dans les années 1950, la musique électronique.

 

 

 

Voir aussi une histoire de la musique allemande sur physinfo.org

 

 

 

 

La musique en Italie au 20e siècle

 

En Italie, des compositeurs ont été, comme dans d’autres pays, séduits par le dodécaphonisme sériel. C’est ainsi que nous avons rencontré Bruno Maderna (1920-1973), Luigi Nono (1924-1990) et Luciano Berio (1925-2003) dans le chapitre consacré au dodécaphonisme, ainsi que Luigi Dallapiccola.

 

D’autres ont échappé à ce mouvement :

 

 

Gian Francesco Malipiero (1882-1973)

Gian Francesco Malipiero est né à Venise le 18 mars 1882 et mort à Trévise le 1er août 1973.

Il fait ses études musicales à Venise puis à Vienne.

En 1913, il se rend à Paris où il découvre la musique de Debussy, Ravel et Stravinsky.

Mais il s’intéresse plus à la musique baroque, transcrivant des compositeurs italiens tels que Claudio Monteverdi et Girolamo Frescobaldi alors tombés dans l'oubli.

De 1921 à 1924, il est professeur de composition au Conservatoire de Parme, puis au « Liceo Musicale » de Venise.

Il a composé 9 symphonies, 4 concertos pour piano, de la musique de chambre, des opéras, mais ses œuvres les plus connues sont les poèmes symphoniques « Impressioni dal vero » (Impressions d'après nature) et « Pause del silenzio », œuvres de jeunesse où l'influence de Debussy est notable.

 

 

 

Ildebrando Pizzetti (1880-1968)

Fils d’un pianiste, Ildebrando Pizzetti est né à Parme le 20 septembre 1880 et mort à Rome le 13 février 1968.

Il est l’auteur d'un concerto pour violon (1944), des opéras  « La figlia di Jorio » (1954), inspiré d'un roman de Gabriele d'Annunzio, et « L'assassinio nella cattedrale » (Meurtre dans la cathédrale, 1958) inspiré du livre de Thomas Eliot.

 

 

 

Alfredo Casella (1883-1947)

Alfredo Casella est né à Turin le 25 juillet 1883 et mort à Rome le 5 mars 1947.

 En 1896, il entre au Conservatoire de Paris où il étudie la composition avec Gabriel Fauré et rencontre Debussy, Stravinsky, Mahler et Richard Strauss.

Ses principales œuvres sont la « Notte di Maggio » (Nuit de mai, 1913) pour voix et orchestre et la suite symphonique « La Giara » (1924) d'après Luigi Pirandello.

Il a aussi composé trois symphonies, diverses pièces orchestrales et de la musique de chambre.

 

 

 

Goffredo Petrassi (1904-2003)

Goffredo Petrassi est né près de Rome le 16 juillet 1904 et mort à Rome le 3 mars 2003.

Il a d’abord une période néoclassique, avec sa « Partita pour orchestre » (1932), puis s'intéresse au baroque romain avec « Salmo IX » pour chœur et orchestre (1934) et « Magnificat » (1939) pour soprano, chœur et orchestre. Il pratique ensuite l'atonalité avec « Coro di morti » (1941) et ses « Concerti pour orchestre » composés entre 1934 et 1972.

 

 

 

Gian Carlo Menotti (1911-2007)

Gian Carlo Menotti est né à Cadegliano en Lombardie le 7 juillet 1911 et mort à Monte-Carlo le 1er février 2007.

En 1928, il émigre aux Etats-Unis où il prend la nationalité américaine. Héritier des véristes, on l’a surnommé « American Puccini » à New-York.

En 1958, il crée son propre festival, le « Festival des deux mondes » à Spoleto en Italie, puis il fonde « Spoleto USA » à Charleston en Caroline du Sud en 1977.

Il est l'auteur de plusieurs opéras dont « Le Medium » (1946), « Le Consul » (1950) et « Amahl and the Night visitors » (1951).

 

portee.jpg

 

 

Voir aussi une histoire de la musique italienne sur physinfo.org

 

 

 

 

La musique en Suisse au 20e siècle

 

Sommaire de ce chapitre

 

Introduction

Arthur Honegger

Ernest Bloch

Frank Martin

Autres compositeurs suisses

 

 

 

Introduction

 

 Jusqu’au 20e siècle, la musique suisse n’a pas été très présente dans l’histoire de la musique classique mais, en 1900, la création de l’Association des musiciens suisses marque le début d’une tradition helvétique influencée par la musique française. Trois compositeurs se distinguent particulièrement durant cette période : Arthur Honegger (1892-1955), Ernest Bloch (1880-1959) et Frank Martin (1890-1974).

 

 

 

Arthur Honegger (1892-1955)

De nationalité suisse, Arthur Honegger est né au Havre le 10 mars 1892, et mort à Paris le 27 novembre 1955.
L’essentiel de sa carrière se déroula en France où, en 1917, il fit partie du groupe des « Nouveaux Jeunes », animé par Erik Satie, puis du « Groupe des Six », qui lui succéda en 1920 autour de Jean Cocteau.
C’est dans ce cadre que nous l’avons traité dans le chapitre consacré à la musique française du 20e siècle.

 

 

 

Ernest Bloch (1880-1959)

Ernest Bloch est né à Genève le 24 juillet 1880 et mort le 15 juillet 1959 à Portland (USA).
En 1903, il passe un an à Paris, où il rencontre Claude Debussy.

Ses premières œuvres s'inscrivent dans le courant postromantique du début du siècle.
Sa rencontre en 1905 avec l’écrivain nationaliste juif Edmond Fleg, l’amène à se réconcilier avec ses origines juives. Il se plonge alors dans l’étude de la culture juive qui imprègnera désormais toute sa musique.
En 1916, il émigre aux Etats-Unis où il est naturalisé américain en 1924.
Il retourne en Europe en 1930 mais, suite à la montée du nazisme, il se fixe de nouveau aux Etats-Unis de 1938 jusqu’à sa mort.

 

Son œuvre s'inspire de la culture juive qui transparaît dans « Schelomo » (1915-1916), Rhapsodie hébraïque pour violoncelle et orchestre, ainsi que dans sa « Symphonie no 2 Israël » (1912-1916).

On trouve l’influence de l’Amérique dans son « Concerto pour violon » (1938) ainsi que dans « America » (1926), une ode à son pays d'adoption.

Il rend hommage à Bach avec ses « Concerto grosso » n°1 (1925) et n°2 (1952) ainsi que son « Concertino pour flûte, alto ou clarinette et cordes  » (1950).

 

On trouvera une biographie plus complète et la liste des œuvres d’Ernest Bloch sur Musicologie.org.

 

 

 

Frank Martin (1890-1974)

Frank Martin est né le 15 septembre 1890 à Genève.
En 1926 il fonde avec des amis la Société de Musique de chambre de Genève dont il est le pianiste et claveciniste jusqu'en 1938.
Vers 1932 il se familiarise avec le dodécaphonisme de Schönberg, sans renoncer toutefois à la tonalité.
Les premières œuvres qui le font connaître sont le « Vin Herbé » (1941) puis la « Petite Symphonie Concertante » (1945).
De 1942 à 1946, il est président de l'Association des musiciens suisses.
En 1946, il s’installe aux Pays-Bas, d’abord à Amsterdam pendant 10 ans puis définitivement à Naarden.
De 1950 à 1957, il enseigne la composition à la Hochschule für Musik de Cologne.

Il meurt à Naarden le 21 novembre 1974.

 

Parmi ses principales œuvres, citons :

Messe pour double chœur (1926)

Le Vin Herbé (1941) oratorio profane basé sur la légende de Tristan et Isolde.

Petite Symphonie Concertante (1945)

Concerto pour sept instruments à vent, cordes et timbales (1949)

Concerto pour violon (1951)

Concerto pour piano n°2 (1969)

 

 

 

Autres compositeurs suisses du 20e siècle.

 

Gustave Doret (1866-1943), compositeur, chef d'orchestre, critique musical et écrivain.

Ecoutez « Invocation à Cérès », extrait de la « Fête des vignerons ».

 

Émile Jaques-Dalcroze  (1865-1950) compositeur, pédagogue et chansonnier.

Son nom reste surtout attaché à ses travaux sur la rythmique et l'expression corporelle qui ont donné une base scientifique à la danse moderne. Dès 1920, sa méthode est enseignée dans toute l'Europe et jusqu'aux États-Unis. Elle fait toujours autorité.

Parmi ses œuvres, 2 concertos pour violon.

 

Rolf Liebermann (1910-1999) compositeur, chef d'orchestre, metteur en scène et producteur.

Ses compositions empruntent à une grande variété de styles et de techniques.

Parmi ses œuvres : « Furioso » (1947) pour orchestre, « Concerto pour jazz-band et orchestre » (1954),
Symphonie « Les échanges » (1964) pour 156 machines à écrire, « Enigma » (1994) pour grand orchestre.

 

 

Voir aussi une histoire de la musique suisse sur physinfo.org

 

 

A suivre =>

 

 

 



© 2006-2020 JP Chorier : Introduction à la musique classique